Quand j'étais enfant, je passais autant de temps que possible à dessiner... jusqu'à ce que je reçoive mon premier Apple II. Les anciens intérêts ont été balayés pour faire place à ma nouvelle obsession : la création de jeux. Au cours des trois décennies suivantes, consacrées à l'écriture, à la programmation et à d'autres activités, j'ai presque oublié que le dessin avait été un moyen d'expression privilégié.
Cela m'est revenu en 2008. Mon ami artiste (et collaborateur sur Templiers) Alex Puvilland m'a donné un carnet Moleskine, un stylo Pigma Micron noir et pas de gomme. J'ai commencé à dessiner des gens dans la rue, dans les cafés et les aéroports, aux salons jeux vidéo et lors de séances de modèle vivant. (Et sur le tournage du film Prince of Persia. Il y avait des chameaux !)
Je trouvais que l'aspect tactile et zen de la plume et de l'encre sur le papier était une pause rafraîchissante, loin des écrans. En dehors de montrer mes carnets de croquis à mes amis et à ma famille, et parfois sur Instagram, je n'avais pas le projet de rendre mon art personnel public. Mais au cours de 15 ans de pratique quotidienne, mon dessin s'est transformé en une nouvelle vocation. Il a ouvert des portes créatives que je n'aurais pas pu imaginer lorsque j'ai (re)commencé. J'ai hâte aujourd’hui de partager ce travail.
J'ai travaillé en étroite collaboration avec Tomoe, un imprimeur d'art local à Montpellier, sur des impressions giclées de haute qualité en édition limitée de certains dessins. Lorsque disponibles, les œuvres peuvent être achetées à partir de cette page, ci-dessus.
Mon travail le plus récent est une série inspirée par les jeux vidéo. Vous pouvez lire mon article de blog à ce sujet ici. La galerie ci-dessous montre un peu de ce que j'ai fait.